Chapitre 8

Dans lequel presque tout à commencé.

Max se réveille dans une barque.
Il s'appelle Armand Pescheur. Il se demande bien ce qu'il fait là.
Rien autour de lui, que l'océan, le soleil et le ciel bleu.
Quand il se penche pour regarder l'eau il voit les zébrures électriques de la lumière qui irradient la coque.
Une musique entendue il y a bien longtemps à la radio lui revient en mémoire...




C'est "le tango des matelots" de Bertolt Brecht et Kurt Weill chanté par Pia Colombo





***

3 commentaires:

Déprimé a dit…

Super !
j'avais envie de me mettre un terme à ma banale existence, grâce à ce message, j'ai décidé du moyen…

Merci Max !

…Plouf !

Vasco a dit…

Camarade déprimé, attrape cette bouée que te lancent les matelots éplorés !
.....
.....
Et maintenant Tristus, sors de corps !

Pat Rik a dit…

Ah ! j'ai compris pourquoi les blogs de Max sont à l'arrêt depuis un moment, ce dernier dormait en mer sur une barque.
Même avec l'apparente rapidité d'exécution, la transparence de la vague, avec ces algues marrons détachées du fond et qui flottent entre-deux eaux, est bien rendue.
(J'arrive un peu tard, je n'avais plus le fil RSS des "Déambulations", heureusement que je viens de faire une tournée d'inspection.)